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Autant dans le raffinage que dans la production, l'industrie pétrolière souffre dans l'Hexagone. D'un côté à cause d'une conjoncture économique défavorable, de l'autre à cause de choix gouvernementaux. Pour l'Union française des industries pétrolières, la France du pétrole doit renouer avec la compétitivité. Ce mardi 10 mars, Francis Dusseux, le nouveau président de l'Union française[...]
Soixante dollars? 40? 20? Les analystes multiplient les paris sur l’évolution prochaine du cours du baril de pétrole. Mais pour établir une prévision solide, il est indispensable de se pencher sur la genèse de ce que Frédéric Lasserre, président fondateur de Belaco Capital, qualifie de « véritable krach pétrolier ». Les seuls facteurs d’offre ne suffisent pas à expliquer la violence de la[...]
Débordé par la rupture de son équilibre budgétaire, construit sur un prix du baril de pétrole avoisinant les 100 dollars alors que ce dernier vient de remonter à 60 dollars après avoir enfoncé le seuil des 50 dollars, le Venezuela brade son pétrole pour fournir à sa population un produit indispensable: le café. Longtemps exportateur net d’un arabica dont la qualité n’avait rien à [...]
Un consortium mené par RT Global Resources, filiale du groupe russe Rostec, a remporté l’appel d’offres pour la construction à Hoima, en Ouganda, d’une raffinerie destinée à traiter le pétrole brut du lac Albert, annonce le journal local Daily Monitor. L’information a été confirmée par le ministère ougandais de l’Energie. Outre RT Global Resources, le consortium qui a remporté l'appel d'offre pour la[...]
La chute des prix du pétrole a constitué, en janvier, le premier motif de destructions d’emplois aux Etats-Unis. 40 % des suppressions d’emplois annoncées en janvier aux Etats-Unis sont[...]
Confrontés à une baisse des prix du pétrole brut qui impacte directement leur chiffre d’affaires, les compagnies pétrolières multiplient les annonces de réduction des coûts. En réaction, la moindre esquisse de rebond du cours du baril est interprétée comme le signe tant attendu d’une réadaptation de l’offre (surabondante) à la demande. Mais les coupes annoncées ne provoqueront pas de hausse significative des prix du baril à court terme. Les annonces de coupes budgétaires consécutives à la baisse des cours du baril[...]
En 2015, la France pourrait diminuer le coût de ses importations de pétrole et de gaz de presque 30% par rapport à 2014. Mais elle reste très dépendante des pays producteurs. Avec la baisse des cours du pétrole dont les prix ont été divisés par deux[...]
Saudi Aramco, Gazprom, NIOC… Le classement des leaders pétroliers mondiaux par volumes extraits réserve quelques surprises. Une infographie fait le point sur ces géants parfois discrets du pétrole et du gaz. La baisse brutale des prix du pétrole provoque des annonces de réduction des[...]
S’il est une catégorie d’acteurs, dans la filière pétrolière, qui se frotte les mains devant la chute des cours, ce sont les propriétaires de supertankers. Habituellement immobilisés avec parcimonie car très onéreux à louer, ces navires qui peuvent contenir jusqu’à 3 millions de barils de pétrole sont pris d’assaut par les négociants et compagnies pétrolières, qui les utilisent pour stocker du pétrole en mer. Qu'est-ce qui rend soudain si attrayant le stockage flottant? La réponse est à [...]
En perdant depuis juin 2014 presque 60% de sa valeur, le pétrole a fait des victimes inattendues : les agriculteurs indiens. Car l’Inde contrôle 80% de la production de gomme de guar, dont les exploitants du pétrole de schiste se sont entichés, puis détournés. Résultat : le prix de la gomme de guar, après avoir bondi de plus de 600% en 2012, est en train de redescendre à son prix historique d’avant la fracturation hydraulique. Longtemps, le guar est resté un triste haricot farineux dont la production (250[...]
Confrontés à la chute des prix du baril, pétroliers et parapétroliers doivent réduire leurs charges, assainir le secteur et innover pour faire face à la nouvelle donne : l'exigence de produire un pétrole low-cost. Moins de 50 dollars le baril, moins de 40, moins de 30 ? Chacun y va de sa[...]
Après l'annonce de son adhésion à l’ITIE, la société internationale de négoce basée en Suisse continue son opération « mains propres » en mettant fin à un contrat d’échange de produits raffinés contre du pétrole brut nigérian effectif au moins depuis 2010, selon des informations du journal suisse Le Temps. Trafigura n’échange plus de produits raffinés (essence, kérosène…) contre[...]